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A un quart d’heure près, c’était de l’attaque-défense sur l’ensemble du match. Ce quart d’heure, c’est celui qui a suivi l’égalisation d’Alexis Sanchez (30e), durant lequel Arsenal a montré suffisamment de solidité pour contenir un Bayern un peu dans le doute. Mais c’est tout. Le reste de la rencontre a été outrageusement dominé par le club bavarois, bien supérieur techniquement, physiquement, dans son organisation collective, dans l’axe ou sur les côtés. Les Gunners ont résisté quand Koscielny était encore sur le terrain. Mais sans leur défenseur de référence, ils ont littéralement explosé en concédant quatre buts en seconde période. Le score peut paraître sévère, mais il traduit finalement assez bien la domination totale du FCB dans ce match à sens unique.
le Real Madrid et renversent le Napoli (3-1) en 8e de finale aller
En cinq minutes, le Real - avec Varane et Benzema titulaires - a fait la différence. Tenus en échec pendant 45 minutes par une équipe de Naples joueuse, les hommes de Zinédine Zidane ont eu la bonne idée d'accélérer au retour des vestiaires. Sur un service de Cristiano Ronaldo, Toni Kroos a donné l'avantage au tenant du titre (2-1, 49e). Puis Casemiro, d'une sublime volée, a aggravé la marque (3-1, 54e).
Auparavant, Benzema avait confirmé sa propension à se transcender lors des matches de C1. Remuant, le Français a été l'un des meilleurs joueurs mercredi soir. Son but de la tête sur un extérieur du droit délicieux de Carvajal a permis aux Merengue d'égaliser (1-1, 18e). Un but en réponse à l'ouverture du score d'Insigne qui a profité d'une erreur de placement de Navas pour glacer Bernabeu (0-1, 8e)